Ecomobilité et énergies renouvelables : Laurence Esquedin et Frédéric Schall d’EEC ENGIE explorent le bilan carbone lors de la matinale

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EN BREF

  • Modes de déplacement : Encouragement à la marche, au vélo, aux transports en commun et au covoiturage.
  • Engagement des entreprises : La société EEC Engie signe la charte écomobilité.
  • Bilan carbone : EEC est la première entreprise en Nouvelle-Calédonie à réaliser plusieurs bilans carbone, en 2008 et 2018.
  • Transition énergétique : Objectif d’atteindre 70% d’énergies renouvelables d’ici 2030.
  • Actions spécifiques : Replantation d’arbres et usage de bornes de paiement en ligne pour réduire l’empreinte carbone.
  • Digitalisation et télétravail : Mise en place de solutions pour réduire les déplacements.

Lors d’une matinale, Laurence Esquedin et Frédéric Schall de EEC ENGIE ont mis en lumière des thématiques essentielles telles que l’écomobilité, les énergies renouvelables et le bilan carbone. Ils ont souligné l’importance d’adopter des modes de transport durables, comme la marche et le vélo, dans un contexte où la réduction des émissions de CO₂ est primordiale. De plus, ils ont présenté les engagements de leur entreprise envers une transition énergétique respectueuse de l’environnement, illustrant leurs efforts pour diminuer leur empreinte carbone.

Dans un contexte où les enjeux environnementaux deviennent de plus en plus pressants, les sujets liés à l’écomobilité et aux énergies renouvelables prennent une importance considérable. Laurence Esquedin et Frédéric Schall, représentants d’EEC ENGIE, se sont penchés sur la question du bilan carbone lors d’une récente matinale. Ils ont partagé les initiatives et les réalisations de leur entreprise en matière de réduction des émissions de CO₂, tout en promouvant des modes de transport durables. Cet article explore en profondeur les stratégies mises en place par EEC ENGIE pour naviguer vers une transition énergétique responsable.

La nécessité d’un nouveau modèle de mobilité

Face aux problématiques de réchauffement climatique et de pollution, adopter des modes de déplacement plus écologiques est devenu une nécessité. Les alternatives au « tout en voiture » comprennent la marche, le vélo, les transports en commun et le covoiturage. Ces initiatives aident non seulement à transformer nos pratiques individuelles, mais aussi à influencer positivement les comportements des entreprises.

Le développement de l’écomobilité s’appuie sur un constat simple mais puissant : il est impératif de réduire nos émissions de CO₂. Les acteurs économiques, ainsi que les particuliers, doivent contribuer à cette transformation en révisant leurs habitudes de transport. Cette responsabilité partagée constitue un levier essentiel pour répondre aux exigences environnementales actuelles.

EEC ENGIE : acteur de la charte écomobilité

En Nouvelle-Calédonie, la société EEC ENGIE s’est engagée dans cette dynamique en signant la charte écomobilité en 2016. Laurence Esquedin a souligné que l’approche de l’entreprise en matière d’écomobilité n’est pas nouvelle, en effet, elle est enracinée dans un processus débuté il y a plus de vingt ans. Cela inclut des actions concrètes telles que la réalisation de bilans carbone et l’acquisition de véhicules électriques afin de réduire l’empreinte carbone de l’entreprise et de valoriser ses actions.

Ce type d’engagement se répercute sur l’ensemble des opérations de l’entreprise. La charte écomobilité signe un véritable changement de paradigme, mettant l’accent sur l’importance d’une approche durable et responsable. Par ce biais, EEC ENGIE s’affirme comme un précurseur dans l’engagement environnemental en Nouvelle-Calédonie.

Transition énergétique : les enjeux d’une consommation maîtrisée

Actuellement, la composition de l’électricité en Nouvelle-Calédonie est marquée par les énergies carbonées (80%) par rapport aux renouvelables (20%). L’objectif gouvernemental est d’atteindre 70% d’énergies renouvelables d’ici 2030. EEC ENGIE se positionne en acteur clé dans cette transition, se définissant comme un site positif où la production excède la consommation. Frédéric Schall partage son optimisme quant à cette transition, notamment par la maîtrise de la consommation d’énergie.

La transition énergétique ne se limite pas à une simple modification des sources d’énergie utilisées, mais inclut des stratégies globales qui engendrent une transformation des mentalités et des pratiques au sein des entreprises. EEC ENGIE s’efforce d’être à la hauteur de ce défi en investissant dans des solutions durables.

Mesurer et réduire le bilan carbone : une priorité pour EEC ENGIE

La société se distingue également en étant la première en Nouvelle-Calédonie à effectuer son bilan carbone. Frédéric Schall indique que les émissions de gaz à effet de serre ont été évaluées pour la première fois en 2008, puis à nouveau en 2018. Ces bilans réguliers permettent d’évaluer les progrès et d’ajuster les actions à mener. La bonne nouvelle est que ces chiffres témoignent de la capacité de l’entreprise à maîtriser sa consommation énergétique.

Pour mesurer son impact environnemental, EEC ENGIE a mis en place des actions concrètes. Par exemple, la compensation de 100% de la production de CO₂ associée à son parc automobile par la replantation d’arbres. Cette initiative de compensation carbone illustre bien leur engagement à long terme en faveur de l’environnement.

Actions concrètes pour réduire l’empreinte carbone

D’autres démarches sont mises en place par EEC ENGIE pour réduire son empreinte carbone et encourager des comportements plus durables. Parmi celles-ci, on trouve l’introduction de bornes de paiement en ligne, permettant d’éviter des déplacements inutiles pour les clients. De plus, la digitalisation des services contribue à réduire l’impact environnemental en minimisant la nécessité de déplacements physiques.

L’accès facilité aux transports en commun s’inscrit également dans cette démarche. Les actions de télétravail sont encouragées avec des objectifs ambitieux fixés pour 2024, illustrant ainsi la volonté de l’entreprise de s’adapter aux réalités contemporaines tout en préservant l’environnement.

Les avantages de l’écomobilité et des énergies renouvelables

Promouvoir l’écomobilité et investir dans les énergies renouvelables apportent de nombreux avantages, tant au niveau économique qu’environnemental. En intégrant ces principes, non seulement les entreprises se mettent en conformité avec les normes environnementales en constante évolution, mais elles contribuent également à la création de valeurs ajoutées pour la société.

Les retombées économiques d’une transition vers des modes de transport plus durables et des énergies renouvelables sont significatives. Elles engendrent des économies sur les frais de transport, réduisent les coûts énergétiques à long terme, et favorisent une image d’entreprise responsable et engagée. Ce processus s’accompagne d’une sensibilisation des clients et des partenaires sur l’importance de la durabilité.

Éducation et sensibilisation : un impératif social

La sensibilisation des populations est un élément crucial pour la réussite de la transition énergétique. L’éducation autour de l’écomobilité et des énergies renouvelables permet d’informer le grand public sur les enjeux cruciaux du changement climatique et de les inciter à adopter des comportements plus responsables. La collaboration entre entreprises, institutions et citoyens est essentielle pour créer un écosystème où chacun se sent concerné par les enjeux environnementaux.

Les diverses initiatives d’EEC ENGIE, comme les programmes éducatifs et les événements de sensibilisation, contribuent à instaurer un dialogue constructif autour de ces thématiques. Elles permettent d’éveiller les consciences sur les impacts de nos actions quotidiennes, incitant ainsi à un changement vers des pratiques plus durables.

Perspectives d’avenir : vers une écomobilité intégrée

À l’aube de nouvelles innovations, les perspectives d’avenir pour l’écomobilité et les énergies renouvelables semblent prometteuses. Le progrès technologique joue un rôle déterminant dans cette évolution. Les avancées en matière de stockage de l’énergie, de véhicules électriques et de solutions technologiques intelligentes permettent d’imaginer un modèle de mobilité qui soit à la fois écologique et pratique.

Les entreprises, comme EEC ENGIE, sont en première ligne dans la recherche de solutions innovantes qui répondent aux défis croissants de notre époque. Elles cherchent à intégrer ces nouvelles technologies tout en visant au maximum l’efficacité énergétique. Cette intégration pourrait apporter une nouvelle dimension à la manière dont nous nous déplaçons, rendant les transports plus accessibles et durables.

Conclusion sur l’importance d’une action collective

Les actions d’EEC ENGIE en matière d’écomobilité et d’énergies renouvelables démontrent que chaque initiative compte. En rassemblant des efforts individuels et collectifs, nous pouvons contribuer à un changement significatif et durable. En agissant maintenant, nous prenons part à une transition nécessaire, qui bénéficie non seulement à l’environnement, mais aussi à notre société dans son ensemble.

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Exploration de l’écomobilité et des énergies renouvelables

Dans un contexte où le réchauffement climatique devient de plus en plus préoccupant, il est essentiel de réfléchir à des modes de déplacement plus respectueux de l’environnement. La transition vers des alternatives telles que la marche, le vélo, les transports en commun et le covoiturage est plus nécessaire que jamais. Ce changement de mentalité vise à diminuer les émissions de CO₂ et à promouvoir une écomobilité durable.

Lors d’une récente matinale, Laurence Esquedin et Frédéric Schall, représentant EEC ENGIE, ont partagé l’engagement de leur entreprise envers cette cause. EEC a signé la charte écomobilité en 2016, témoignant de leur volonté d’agir pour un avenir plus vert. « À l’époque, il y a plus de vingt ans, nous étions déjà dans une démarche d’écomobilité avec la réalisation du bilan carbone ou encore l’acquisition d’un véhicule électrique », a souligné Laurence, mettant en avant les premières initiatives de l’entreprise.

Leur présentation a également abordé l’état actuel de l’électricité calédonienne, qui est majoritairement d’origine carbonée. Frédéric a indiqué que le gouvernement vise à réduire cette proportion à 70% de renouvelables d’ici 2030. « Nous sommes considérés comme site positif, c’est-à-dire que nous produisons plus que nous consommons », a-t-il ajouté, soulignant l’engagement proactif d’EEC dans la transition énergétique.

De plus, ils ont discuté des mesures déjà en place pour minimiser leur impact environnemental. Par exemple, EEC est la première entreprise en Calédonie à avoir réalisé son bilan carbone, examinant les émissions de gaz à effet de serre. « Nous arrivons à maîtriser notre consommation », a déclaré Frédéric, précisant que pour leur parc automobile, 100% des émissions de CO₂ sont compensées par la replantation d’arbres.

Enfin, les deux intervenants ont évoqué des initiatives telles que les bones de paiement en ligne pour limiter les déplacements, la digitalisation des services, et l’accessibilité renforcée aux transports en commun. Le télétravail a également été mentionné comme un levier de l’écomobilité, avec des objectifs fixés pour l’année 2024.

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